Services d’expédition de fret aérien, transport maritime de colis & envoi de marchandises par cargo au Bangladesh
Avec un envoi mensuel de 45t de marchandises par fret aérien, TEAM offre un service de transport international express de marchandises vers ou au départ du Bangladesh de n'importe quelle ville de France.
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Les ports et aéroports du Bangladesh ouverts sur le transport international
Le transport par cargo reste un élément-clé de l'économie du Bangladesh. Depuis sa libération, le développement des infrastructures bangladaises a fortement progressé grâce à l’aide incontestable de la Chine. Un certain nombre de modes de transport routier, maritime et aérien ont vu le jour rapidement, laissant place à un monde de possibilités d’un point de vue logistique. Toutefois, des progrès importants doivent être mis en marche pour garantir un accès uniforme à tous les moyens de transport disponibles.
Au niveau logistique, la société bangladaise attend de la Chine davantage de soutien pour marquer le coup d’envoi de huit projets importants de fret maritime. L'aide précieuse de la Chine pourrait être bénéfique aux deux partis, en plus de donner un nouveau souffle aux économies de la région (Inde, Népal, Birmanie et Bhoutan). Ainsi, le projet mondial de la nouvelle route de la soie proposée par la Chine pourrait contribuer à stimuler davantage la croissance économique de l'Asie.
En termes de transport de colis et de marchandises par avion-cargo, le Bangladesh est très pratique pour les transitaires, que ce soit pour l’importation ou l’exportation de biens. En effet, il possède 3 aéroports internationaux dédiés au fret aérien: Shahjalal International Airport dans la ville de Dhaka, qui est le plus important de la société bangladaise en termes de trafic aérien, Shah Amanat International Airport à Chittagong, et Osmani International Airport à Sylhet.
Côté logistique, le fret aérien n’est pas l’unique moyen de transport accessible. En effet, grâce à son accès à l’océan Indien, la société bangladaise possède un atout majeur dans le monde du fret maritime. Parmi ses ports notables, on retrouve Chittagong, Mongla, Payra et Dhaka d’où partent quotidiennement un grand nombre de navires cargo. Considéré comme l’un des plus anciens, le port de Chittagong est le plus fréquenté du littoral du golfe du Bengale. En 2017, il était le 71e port de fret le plus actif au niveau international avec un trafic annuel de plusieurs centaines de navires cargo.
Situé dans la ville portuaire bangladaise de Chittagong et sur les rives du fleuve Karnaphuli, le port de Chittagong traite d’ailleurs 90 % des échanges commerciaux du Bangladesh à l’international.
La ville de Dhaka se met en marche au lever du soleil
Depuis 1972, le Bangladesh a rejoint le Commonwealth, l'ASACR, le BIMSTEC, l'OCI, et le D-8.
Initiée par le président bangladais de l'époque, Ziaur Rahman, fondée en 1983 dans la ville de New Delhi et établie par une charte entrée en vigueur en 1985, l’ASACR est une association régionale qui regroupe huit États de l'Asie du Sud. Le Bangladesh en fait partie, en compagnie du Népal, de l'Inde, du Bhoutan, du Sri Lanka, des Maldives, du Pakistan et de l'Afghanistan. Elle a pour but d’encourager la coopération sur les plans scientifique, technologique, agricole, culturel, politique, mais également dans les domaines de la santé, du contrôle de la natalité et de la lutte anti-terroriste. Les États membres ont également signé l'accord de libre-échange de l'Asie du Sud, baptisé SAFTA en anglais, pour la réduction, voire l’abolition des droits de douane à l’exportation et à l’importation entre les États.
Même s’il n’y a pas encore de discussion sur un éventuel accord commercial bilatéral entre les gouvernements de Paris et d’Hanoi, un accord de libre-échange entre l’Europe et le Vietnam (EVFTA) est en train d’être étudié par le Parlement Européen. Les échanges bilatéraux ont atteint environ 50 milliards de dollars en 2017 et ont été multipliés par trois en 10 ans. En effet, l’Europe est un partenaire majeur et il représente aujourd’hui le second marché d’exportation du Vietnam.
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Il est à noter que les relations franco-bangladaises se sont fortement développées suite à la visite de François Mitterrand en 1990 et la proposition française d’un programme d’aménagements pour la prévention des crues. Au fur et à mesure, les liens politiques tissés se sont consolidés grâce aux visites régulières des chefs d’Etats et des nombreux services respectifs rendus.
En 2017, les échanges entre les deux Etats se sont élevés à 2,4 milliards d’euros. Ils sont d’ailleurs largement déficitaires pour l’Hexagone (- 2,2 milliards d’euros). Le marché bangladais est riche en opportunités grâce au programme de modernisation des infrastructures de la société bangladaise (énergie, moyens de transport, eau/assainissement et communications). Le Bangladesh constitue le 49ème partenaire commercial de l’Hexagone. Il en est le 80ème client, mais également le 36ème fournisseur et son 14ème déficit.
La politique de coopération franco-bangladaise s’inscrit dans le cadre de l’accord de coopération culturelle conclu en 1987. Il s’appuie notamment sur deux Alliances françaises : celle de la ville de Chittagong et celle de la ville de Dhaka, toutes deux partenaires du Goethe-Institut. Depuis, l’Hexagone met l’emphase sur l’attractivité et le développement de la coopération scientifique et technique au service de l’économie bleue, du rayonnement de la culture et de la sensibilisation à l’égard du changement climatique. Depuis 2012, l’Agence française de Développement (AFD) œuvre sur le territoire bangladais dans le cadre d’un mandat de promotion pour une « croissance verte et solidaire ». L’AFD joue d’ailleurs un rôle important dans les énergies vertes, les infrastructures de développement urbain et l’amélioration des standards de sécurité, ainsi que des performances environnementales et sociales au service de l’industrie textile. Ses engagements cumulés s’élèvent à 367 milliards d’euros.
Concernant les importations et les exportations entre les deux Etats, le Bangladesh envoie principalement vers la France des marchandises issues de l’industrie textile (cuir et chaussures), des produits des industries agroalimentaires, des produits manufacturés divers et des produits en caoutchouc et en plastique. De son côté, la principale exportation de l’Hexagone réside dans l’envoi de machines industrielles et agricoles, puis dans celui de produits chimiques, de parfums et cosmétiques, de matériel de transport, et d'équipements électriques et ménagers.
Expédition au Bangladesh, un pays aux multiples facettes
Fréquemment appelé « le pays du Bengale », le Bangladesh fait partie du sous-continent indien. Situé au nord du golfe du Bengale, il partage une frontière commune en compagnie de la Birmanie et de l’Inde, et possède un accès direct à l’océan Indien.
Avec plus de 1 251 hab/km2 en 2016, le Bangladesh est considéré comme l'un des territoires ayant la population la plus dense au niveau international. D’ailleurs, la ville de Dhaka est l'une des plus grandes du sous-continent indien avec plus de 21 millions d'habitants à son actif !
D’un point de vue géographique, la majeure partie du territoire est occupée par le delta du Gange, qui mesure 105 000 km2 au total. Cette plaine fertile est sujette aux cyclones et aux inondations dues à la période des moussons où des vents forts en provenance de l’océan Indien s’abattent sur la région.
Le territoire est à moins de 12 mètres au-dessus du niveau de la mer et environ 10 % du territoire est situé en dessous du niveau de la mer. On estime d’ailleurs qu'environ 50 % de sa superficie risquerait l’inondation si le niveau de l’océan augmentait d'un mètre !
Idéale pour une expédition en pleine nature, c’est dans la chaîne des monts Mowdok, dans les Chittagong Hill Tracts, que se trouve le point culminant du territoire (1052 mètres d’altitude). La plus grande forêt de mangrove du monde, appelée « les Sundarbans », est composée en majeure partie de marécages et abrite de nombreuses espèces de faune et de flore.
En plein tropique du Cancer, le pays du Bengale possède un climat de type tropical avec un hiver doux d'octobre à mars, un été assez chaud et humide de mars à juin, et des épisodes de mousson de juin à octobre. De plus, presque tous les ans, le territoire est affecté par des catastrophes naturelles (inondations, tornades, cyclones tropicaux et raz de marée).
Le Bangladesh, une société basée sur l’exportation textile à bas prix à l’instar de la Chine
La société bangladaise fait face à divers obstacles qui freinent sa croissance économique: les caprices météorologiques fréquents (les cyclones et les inondations), l'inefficacité des entreprises d'État, l'augmentation de la main-d'œuvre dépassant le nombre d'emplois, la mauvaise gestion des plateformes portuaires, l'insuffisance de l'alimentation électrique, la mauvaise utilisation des ressources d'énergie, la lenteur de l’instauration de réformes économiques, les conflits politiques et la corruption.
Malgré ces difficultés, la société bangladaise est un sacré numéro : elle dispose d’une croissance annuelle moyenne qui atteint un taux de 5 % depuis 1990 avec l’expansion de sa classe moyenne et le développement du secteur des services. En augmentation constante, le PIB par habitant s'élevait à près de 1900 dollars en 2019.
Territoire agricole par excellence, on compte pas moins de 67 % des terres au service de cultures diverses: le riz, le thé et la moutarde.
Sans grande surprise, plus des trois-quarts des exportations proviennent de l'industrie textile dont sont friands l’Europe et l’Amérique du Nord.
Grâce à 5000 entreprises qui génèrent environ 29 milliards de dollars par an, soit un taux de 80 % des exportations du territoire, le Bangladesh se classe numéro deux mondial en termes d’exportations de vêtements à bas prix, juste après la Chine. L’Etat a connu une croissance en investissements directs à l'étranger: certaines entreprises multinationales, dont Unocal Corporation et Tata Group, y ont beaucoup investi, dans le secteur du gaz naturel notamment.
Enfin, en 2020, sa population est estimée à 162 650 853 habitants, ce qui classe le pays numéro 8 mondial en termes de densité de population.
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Remplir la demande de devisFaire des affaires avec une société basée au Bangladesh
L’environnement des affaires reste difficile: le Bangladesh a été classé au 168ème rang sur 190 pays dans le rapport Doing Business 2020 de la Banque Mondiale. En effet, suite à de nombreux coups d’État militaires depuis sa création, sa stabilité politique reste vulnérable aux conflits en compagnie de la Ligue Awami, actuellement au pouvoir, et du Parti nationaliste bangladais.
La Coface, spécialiste de l'assurance-risque à l'export, considère le risque d’impayés des entreprises bangladaises comme élevé et lui donne la note C à la fois en évaluation des risques pays et en environnement des affaires.
Ces derniers mois, le PIB a maintenu une belle croissance grâce à la consommation privée et à l’investissement en capital lié à la hausse des transferts de fonds des expatriés et à l’incroyable cadence de l’industrie manufacturière. En revanche, la précarité du système bancaire et des infrastructures pourraient avoir tendance à ralentir les investissements directs étrangers. De plus, l’industrie textile, soit un taux de 85 % de ses exportations, subit la perturbation des chaînes de valeur mondiales engendrée par la guerre commerciale entre la Chine et les États-Unis. Relativement stable, l’inflation reste assez élevée, compte tenu des pressions liées à la forte demande mondiale, les mauvaises récoltes et les prix des matières premières à l’international.
Même si la croissance des importations est assez forte, elle sera rattrapée par celle des exportations, notamment avec l’industrie textile en pleine explosion en Europe et en Amérique du Nord. Dans une moindre mesure, les exportations de marchandises alimentaires et agricoles se développeront également.
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